mercredi 28 novembre 2012

giboulée de novembre

juste eu le temps de pointer mon nez sur le plateau de Chateaufort avant de prendre une première averse, la deuxième à Versailles... bon c'est toujours ça de pris. les soixante-huit bornes après le boulot, pas les averses! j'avais déjà mangé avant de partir, mais j'ai eu le temps de rêver au grand bol de potage potiron-chataîgne que je suis en train de déguster.
je me demande parfois si c'est la satisfaction d'avancer dans ces moments-là, mais je crois qu'elle vient simplement du fait de vivre pleinement. idem si je remonte de ma cave à 23h avec un travail fini, ou si j'ai aidé l'oncle a rentrer-démâter le bateau... mériter sa bière est tellement plus riche que de pantoufler à la maison. et pantoufler à la maison est tellement plus agréable quand on ne le fait jamais!
ceci dit je m'y prends encore assez mal, puisque pas une seule fois de l'année je n'ai vraiment décidé de me lever tard ou de me reposer; chaque fois que je l'ai fait c'était à contre-coeur et donc sans le savourer, alors que c'est le meilleur, se coucher en se disant comme un vendredi soir que l'on peut dormir sans contrainte.
bref, je prévois de prendre au moins cinq cents d'avance pour finir à la Sainte Coca-Cola, sauf incident. j'ai pris une semaine de congés entre les fêtes, soit pour assurer le kilométrage, soit pour faire un break. ...ou pour rouler!?

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire